Départ de Trieste en Italie puis traversée de 8 pays pour aboutir à Monaco...
2000 kilomètres, 110 000 mètres de dénivelée avec des altitudes comprises entre 0 et 3000 m... Un joli programme !
2000 kilomètres, 110 000 mètres de dénivelée avec des altitudes comprises entre 0 et 3000 m... Un joli programme !
L'itinéraire
L’itinéraire rouge est un itinéraire de liaison entre l’ensemble des huit pays alpins : Italie, Slovénie, Autriche, Allemagne, Liechtenstein, Suisse, France, Monaco. Il franchit plusieurs fois la chaîne principale des Alpes, pour relier Trieste à Monaco en passant par la Bavière et le Liechtenstein. L’itinéraire franchit 44 fois les frontières nationales.
Le sentier côtoie certains des plus hauts sommets : le Triglav, les Tre Cime di Lavaredo, le Hochfeiler, la Zugspitze, la Silvretta, la Bernina, le Mont Blanc, les glaciers de la Vanoise, la barre des Ecrins… Mais il permet aussi de découvrir le riche patrimoine culturel des villes-portes sur l’itinéraire ou à proximité (Trieste, Monaco, Feldkirch mais aussi Innsbruck et Briançon) et traverse, loin des foules, les villages retirés des Alpes juliennes et carniques, du Tessin et des Alpes occidentales.
L’itinéraire rouge est aussi un parcours linguistique, témoignage du rôle historique des cols alpins comme voies d’échange essentielles. Les dialectes échappent aux découpages administratifs et on parle allemand, italien, français, slovène mais aussi romanche et ladin, walser, franco-provençal et occitan.
(source : via-alpina.fr)
L'itinéraire sera modulé en fonction des rencontres, des conseils des gardiens de refuges et des sommets proches.
Le sentier côtoie certains des plus hauts sommets : le Triglav, les Tre Cime di Lavaredo, le Hochfeiler, la Zugspitze, la Silvretta, la Bernina, le Mont Blanc, les glaciers de la Vanoise, la barre des Ecrins… Mais il permet aussi de découvrir le riche patrimoine culturel des villes-portes sur l’itinéraire ou à proximité (Trieste, Monaco, Feldkirch mais aussi Innsbruck et Briançon) et traverse, loin des foules, les villages retirés des Alpes juliennes et carniques, du Tessin et des Alpes occidentales.
L’itinéraire rouge est aussi un parcours linguistique, témoignage du rôle historique des cols alpins comme voies d’échange essentielles. Les dialectes échappent aux découpages administratifs et on parle allemand, italien, français, slovène mais aussi romanche et ladin, walser, franco-provençal et occitan.
(source : via-alpina.fr)
L'itinéraire sera modulé en fonction des rencontres, des conseils des gardiens de refuges et des sommets proches.
La Via Alpina |
La Convention Alpine |
La Via Alpina a été initiée par la GTA en 1999 et officiellement créée en 2000 en collaboration avec diverses organisations publiques et privées des huit pays. Entre 2001 et 2008, le projet a reçu des subventions de l'Union européenne dans le cadre du fond pour le développement régional. Depuis 2005, la Via Alpina est, en outre, un projet officiel de la Convention alpine, puisqu'elle contribue à l'encouragement d'un développement durable dans l'espace alpin. De nombreuses offres spéciales, comme des tours organisés, avec transport, hébergement, animations culturelles et historiques ainsi que des offres pour les enfants et les personnes âgées animent le parcours et contribuent à la plus-value de la région.
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La Convention alpine est un traité pour le développement durable des Alpes dont l'objectif est à la fois la sauvegarde de l'écosystème naturel et la promotion du développement de la chaîne alpine. Cette convention concerne l'Union européenne et les huit pays traversés par l'itinéraire rouge de la Via Alpina : l'Allemagne, l'Autriche, la France, l'Italie, le Liechtenstein, Monaco, la Suisse et la Slovénie.
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Les massifs traversés
L'itinéraire rouge avec ses 161 étapes officielles traverse 34 massifs dans 8 pays différents :
Alpes juliennes - Karavanke - Alpes carniques - Dolomites - Alpes de Zillertal - Alpes de Tux - Karwendel - Wetterstein - Alpes de Lechtal - Alpes d'Allgäu -massif de Lechquellen - massif du Bregenzerwald - Rätikon - Silvretta - chaîne de Sesvenna - massif de l'Ortles - chaîne de Livigno - chaîne de la Bernina - Alpes lépontines - Alpes valaisannes - Alpes bernoises - massif du Giffre - Aiguilles Rouges - massif du Mont-Blanc - Alpes grées - massif du Mont-Cenis - Massif des Cerces - massif des Écrins - massif du Queyras- massif d'Escreins - massif de Chambeyron - massif du Mercantour-Argentera - Alpes ligures - Préalpes de Nice
Alpes juliennes - Karavanke - Alpes carniques - Dolomites - Alpes de Zillertal - Alpes de Tux - Karwendel - Wetterstein - Alpes de Lechtal - Alpes d'Allgäu -massif de Lechquellen - massif du Bregenzerwald - Rätikon - Silvretta - chaîne de Sesvenna - massif de l'Ortles - chaîne de Livigno - chaîne de la Bernina - Alpes lépontines - Alpes valaisannes - Alpes bernoises - massif du Giffre - Aiguilles Rouges - massif du Mont-Blanc - Alpes grées - massif du Mont-Cenis - Massif des Cerces - massif des Écrins - massif du Queyras- massif d'Escreins - massif de Chambeyron - massif du Mercantour-Argentera - Alpes ligures - Préalpes de Nice